Celui qui opte pour l’intériorité doit avoir pour compagne durant ses premiers pas la solitude. Nul ne saurait l’éviter.

… On chemine seul en raison de sa singularité, non par choix mais par nécessité.

Marie-Madeleine Davy, “L’homme intérieur et ses métamorphoses”,
Desclée de Brouwer, 1987

(cité par Loquito in anotherdaylight, le 22 novembre 2013)