ronny-garcia-photography_the-shipwrecked-ii

 

Je n’en veux à personne
Mais, Dieu, que j’en ai bavé

Je n’en veux à personne
Mais comme cela a duré

Je n’étais que souffrance
Et je ne le savais pas

Je n’étais que souffrance
Cela ne se voyait pas

Tout semblait si futile
A mesure que j’avançais

Tout semblait si futile
Mon édifice s’écroulait

Dans le temps immobile
En moi des choses bougeaient

Dans le temps immobile
Enfin je me retrouvais

Et voilà que tu resurgis
Dieu de mon enfance

(Voilà que)
Tu me ramènes à la vie
Dieu de mon enfance

Il fallait tant de temps
Pour mener tous ces combats

Il fallait tant de temps
Pour que j’assure mon pas

Tu surgis de mon enfance
Toi qui m’as donné la vie

Tu me redonnes confiance
Tu es le Seigneur de la Vie.

Z- 15/10/2016

Source photo : Ronny Garcia Photography