pélrinage rituel en Inde

. . . Regarder au-delà du savoir
pour embrasser l’unité.
Tout en vous apaisant, respirez la
parole vivante qui restaure la création.
Partagez le feu spirituel et laissez la
lumière mystique de Dieu vous remplir
en abondance.

En fin de compte il n’y a qu’une seule vérité,
une seule réalité, pure et sacrée :
Que le pouvoir de l’amour imprègnera
et surpassera toutes choses.
Nous nous reposerons dans un accomplissement parfait
qui sera émerveillement.

Nous ne sommes pas seuls, nous sommes dans
le déroulement même de la vie mystique.
Nous ne pouvons être heureux que pour autant que
la gentillesse et la vie qui circulent à l’intérieur,
illuminent l’extérieur.

Les mots sont des ombres ; les actes naissent
de la vraie compassion et de l’amour.
Une vérité reçue dans le calme que nous partageons
dans les moments au-delà du temps,
touches fugaces d’une ultime
étreinte totale.

Au cœur de tout cela, se trouve le plus
sacré et le plus simple de tous les mystères :
Nous sommes aimés, purement
et simplement.

 

 

Extrait d’un poème sanscrit âgé de 5 000 ans,  traduit en anglais par Michael Meehan, SJ et publié dans
Mysticism and the New Age: Christic Consciousness in the New Creation by George A. Maloney, SJ (Alba House, 1991),  et cité par Michael J. Bayly sur son blog thewildreed.

Source photo : pèlerinage rituel en Inde via case-des-hommes

mirror

“Comme en vous contemplant
dans un miroir :
la forme et le reflet
se regardent.
Vous n’êtes pas le reflet
mais le reflet est vous.”

Maître Tozan, Hokyo Zan Mai, IXè siècle

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Les vies humaines dépendant des circonstances. Il n’est pas nécessaire de rejeter l’activité et de rechercher le calme. Videz-vous à l’intérieur, et à l’extérieur soyez harmonieux. Alors, en paix, vous avancerez au milieu de l’activité frénétique du monde.

Engo Kokugon, (1063–1135).

source image : jj-tryskel.hautetfort.com, formidable composition associant la chanson “La foule, interprétée par Edith Piaf et des photos représentant la composition de de tours humaines.

source texte : proposé par Federico Dainin Jôkô San

Apollon et Hyacinthe

Apollon et Hyacinthe

“ Quelques-uns d’entre vous disent, « La joie est plus grande que la tristesse », et d’autres disent, « Non, c’est la tristesse qui est la plus grande ». Mais je vous dis, elles sont inséparables. Elles viennent ensemble, et quand l’une est assise seule avec vous à votre table, n’oubliez pas que l’autre est endormie sur votre lit”.

-Khalil Gibran-