Mon Dieu

VOICI UNE NOUVELLE :
MON DIEU, C’EST LE DIEU DE TOUS.

Quand je parle à MON DIEU, il est évident que cela ne veut ne pas dire que c’est le mien.
Quand je dis MON DIEU, je me réfère à ma découverte personnelle de celui-ci,
par le biais de mon expérience quotidienne.

Alors, je vais commencer par le plus grand…

Mon DIEU, c’est le Dieu créateur de l’univers tout entier, c’est le Dieu de l’Histoire, et c’est le Dieu de ma propre histoire.

MON DIEU, il transcende la théologie, la philosophie, la science. Il est la source de toute connaissance.

MON DIEU, il brise les schémas, les catalogages, il dépasse toute expérimentation en tube à essai.MON DIEU est au-delà de tout ce que mon esprit ne pourra jamais comprendre de LUI.

MON DIEU, c’est le Dieu de la lumière et pas des ténèbres.
MON DIEU transforme le mal en bien. Il rend les faibles, forts. Il restaure les vies brisées.
MON DIEU, donne de l’espoir à qui n’en a plus.

MON DIEU ne fait acception de personne, ni pour l’âge, ni pour le sexe, ni pour la race, ni pour l’idéologie, ni pour la religion, ni pour la position sociale, ni pour l’orientation sexuelle ni pour le coefficient intellectuel… Moi, il m’aime parce que je suis moi, et toi il t’aime parce que tu es toi. Sa nature ou son essence, c’est l’amour, et c’est là son grand pouvoir.

C’est LE DIEU DE TOUS, lorsque nous échouons, et lorsque nous avançons, quand nous avons confiance et quand ce n’est pas le cas, quand nous choisissons la mauvaise voie, et quand nous prenons la bonne direction, quand nous tombons et quand nous nous relevons, quand nous sommes malades et quand nous sommes en bonne santé.

Son AMOUR et Ses soins ne dépendent pas de nous, mais seulement de LUI.

Dieu est le DIEU DE TOUS, de l’humanité entière et de chacun en particulier, et nous avons tant de valeur pour lui, qu’il est allé jusqu’à se laisser mourir.

C’est MON DIEU et c’est le TIEN… et ça, c’est vraiment de BONNES NOUVELLES !

 

Yolanda Gascon Garcia
source : Comunitat Cristiana Protestant de Barcelona (facebook)
comunitat-protestant-bcnsource photo : http://monstergay.blogspot.fr

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Tes cheveux sont des rayons de miel,

Tes yeux,

la douceur des réveils.

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Ton regard,

un clin d’oeil du soleil,

Et tes traits,

une pure merveille

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Tes épaules graciles

et ton torse fragile

Candeur d’un horizon

Offert en tentation.

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Ton bras gauche posé sur ton ventre effilé,

Comme pour séparer désir et volupté,

Invite à goûter délice et suavité

Qui naît du velouté

du rieur pré livré.

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Et quand l’intimité à mes yeux tu dévoiles

offrant la nudité de ton corps plein d’étoiles,

L’ivresse de mon âme fascinée

porte mon coeur à l’extase embrasée !

 

 

[Source : Loquito / http://anotherdaylight.wordpress.com]

toiquisais
TÚ que sabes tantas cosas,
Dime por qué vuela el pájaro;
Por qué crecen las espigas;
Por qué reverdece el árbol.
Por qué se alumbran de flores
En primavera los prados.
Por qué no se calla el mar.
Por qué se apagan los astros.
Por qué es sonoro el silencio
En la soledad del campo:
Y el agua corre a esconderse
Entre su risa y su llanto.
Por qué el viento aviva el fuego
Cuando no puede apagarlo.
Por qué el corazón se duerme
Si el alma sigue soñando.
TOI qui sais tant de choses,
Dis-moi pourquoi s’envole l’oiseau;
Pourquoi poussent les épines;
Pourquoi reverdit l’arbre.
Pourquoi s’illuminent de fleurs
Les prés, au printemps.
Pourquoi l’océan ne se tait jamais.
Pourquoi les étoiles ne s’éteignent pas.
Pourquoi le silence est bruyant
dans la solitude de la campagne:
Et l’eau qui courre se cacher,
entre ses rires et ses pleurs.
Pourquoi le vent avive le feu
quand il ne peut l’éteindre.
Pourquoi le coeur s’endort
Quand l’âme continue de rêver.
JOSÉ BERGAMÍN
[source photo : http://gawker.com]

4 boules

Si demain, après ta victoire de cette nuit, te contemplant nu dans ton miroir, tu te découvrais une seconde paire de testicules, que ton cœur ne se gonfle pas d’orgueil, ô mon fils, c’est tout simplement que tu es en train de te faire enculer.

Daniel Pennac ; La fée carabine (1987)

 

pas forcément !

 

[source photo :  fratmen.com via http://olivier75.erog.fr]

J’étouffe dans la ville.
Trop de faux-semblants et d’apparences,
trop de masques parfois inconscients.

J’aspire à être vrai,
Je voudrais ôter tout vêtement,
toute apparence, tout masque,
moi aussi.

Me retrouver nu comme un ver,
sans crainte du ridicule,
Oui, nu comme un ver,
Et vivre
une expérience de révélation,
d’explosion et de vie et de joie.

Je suis vivant, je suis vivant!
Tous les faux-semblants n’ont pas pu m’atteindre.
Je suis vivant,
nu mais vivant !

 

Zabulon

Photo : Sculpture de Anthony Groomley à Hong Kong